Me William Roy
Après avoir complété un baccalauréat en droit à l'Université de Sherbrooke en 2009 ainsi que le programme de formation professionnelle de l'école du Barreau en 2010, Me William Roy a d'abord joint le cabinet Hamelin Bourgon, Avocats à titre de stagiaire en droit pour Me Roxane Hamelin. Par la suite, il a agit à titre d'avocat au sein de la même étude. Dès lors, il fonda son étude légale sous la dénomination de Me William Roy, Avocat. Cette époque a permis à Me Roy de développer une expertise pointue concernant la Charte canadienne des droits et libertés de même que dans le cadre des dossiers reliés à la conduite automobile (conduite avec les capacités affaiblies, délit de fuite, conduite dangereuse, infractions relatives au Code de la sécurité routière, etc.).
Récemment, Me Roy a fondé avec Me Corbeil et Me Demchuck l’étude légale Corbeil Demchuck Roy, Avocats. Me Roy fut associé au sein de l'étude légale LSA, Avocats (Linteau Soulière et Associés, avocats), qui offrait ses services dans le centre-ville de Montréal. Le bureau a changé d’adresse, de nom et de structure en août 2021 pour s’appeler BLP Avocats Inc. et offrir ses services dans le Vieux-Montréal au 439, rue Saint-Pierre. Il collabore, depuis 2012, avec Me Gérald Soulière, criminaliste d'expérience, et ce, dans plusieurs dossiers. Depuis lors, la pratique de Me Roy s'étend à la contestation du simple constat d'infraction au code de la route à l'infraction poursuivie par voie de mise en accusation criminelle pour fraude, crimes à caractère sexuel, voies de fait (simples, causant des lésions corporelles, armées, graves), stupéfiants (possession simple, possession en vue d'en faire le trafic et trafic), et ce, sans négliger les dossiers de facultés affaiblies, de plus en plus nombreux au Canada.
Me Lefebvre a complété un baccalauréat bilingue en administration des affaires au HEC Montréal en 2016 et a obtenu un diplôme de l’Université de Montréal en droit en 2019. Il a par la suite complété son École du Barreau en 2020 avant d’effectuer son stage au sein du cabinet Linteau, Soulière et Associés, Avocats auprès de Me William Roy.
Membre du Barreau du Québec depuis 2020, Me Lefebvre exerce principalement en droit criminel et pénal. Convaincu que tous ont droit à une défense pleine et entière, Me Lefebvre vous défendra sans jugement et avec conviction, quel que soit l’infraction que l’on vous reproche. En effet, son expertise s’étend des simples contraventions au Code de la sécurité routière, aux crimes contre la personne (menaces, harcèlement criminel, voies de fait, agression sexuelle, violence conjugale), contre la propriété (vol, fraude), impliquant des armes à feu, aux infractions relatives aux moyens de transport et aux diverses accusations en lien avec les stupéfiants.
Impliqué dans sa communauté, Me Lefebvre offre des services pro bono via le service d’information juridique à la Cour municipale de Montréal depuis le début de sa pratique. Ce programme permet aux justiciables non représentés par avocat d’avoir droit à une consultation juridique gratuite avant leur comparution. Il siège également à titre de bénévole dans trois comités du Jeune Barreau de Montréal, soit le Comité Activités socioculturelles et sportives, le Comité Recherche et législation et le Comité Pro bono. De plus, Me Lefebvre s’implique depuis 2020 au sein de l’organisme Le Chaînon qui a pour mission d’accueillir de manière inconditionnelle et sans jugement les femmes en difficulté. Finalement, Me Lefebvre a été entraineur de hockey au Collège Jean-Eudes et au Collège Notre-Dame pendant plusieurs années.
« Il y a bien des années, lorsque j'ai commencé à exercer le droit, les procédures judiciaires étaient entourées de mythes. À cette époque, les citoyens croyaient que les procès menaient dans tous les cas à la bonne conclusion, que les agents de police ne disaient que la vérité et que, par miracle, les juges naissaient sans idées préconçues, réactions instinctives ou préjugés. Leur imagination ne connaissait pas de faiblesses. Ils étaient capables d'admettre leurs erreurs, n'ayant pas l'attitude butée qu'on observe chez le commun des mortels.
À l'instar de la sorcellerie et de la croyance que la terre est plate, ces mythes ont maintenant disparu, au grand dam sans doute de nombreux membres de la profession juridique. On a démontré que certains procès avaient mal tourné, même si les cours d'appel ont déployé des efforts énergiques pour les valider. Les jurys écoutent maintenant avec une forte dose de scepticisme les témoignages de la police. Les prises de position de certains juges, en exercice ou à la retraite, dépassent les bornes d'une charmante excentricité et suscitent des inquiétudes. »